Spandri, F. (2019). De l’argent comme dissolvant social: “La Cousine Bette”. In Andrea Del Lungo et Pierre Glaudes (a cura di), Balzac, l'invention de la sociologie (pp. 77-96). Paris : Classiques Garnier [10.15122/isbn.978-2-406-08344-3.p.0077].

De l’argent comme dissolvant social: “La Cousine Bette”

SPANDRI, FRANCESCO
2019-01-01

2019
978-2-406-08342-9
Le chapitre 58 de l’édition originale de "La Cousine Bette" s’intitulait: « Où l’on voit la puissance de ce grand dissolvant social, la misère ». Après avoir raconté la désagrégation d’une famille, les Hulot, Balzac attire l’attention du lecteur sur la prochaine désagrégation d’une autre famille, les Steinbock. La Famille menacée d’une inévitable dissolution est le thème qui préoccupe le romancier. Mais la logique du roman-feuilleton sous-entend une vérité paradoxale: l’argent comme lien social irremplaçable et comme rupture du lien social.
Spandri, F. (2019). De l’argent comme dissolvant social: “La Cousine Bette”. In Andrea Del Lungo et Pierre Glaudes (a cura di), Balzac, l'invention de la sociologie (pp. 77-96). Paris : Classiques Garnier [10.15122/isbn.978-2-406-08344-3.p.0077].
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